Laurent Lèguevaque est né à Toulouse, où, après des études de droit et de psychologie, il passe et décroche le concours d'entrée à l'Ecole Nationale de Magistrature. Durant treize années, il occupe les fonctions de juge d'instruction dans différentes villes, Mâcon et Tours, ...
Laurent Lèguevaque est né à Toulouse, où, après des études de droit et de psychologie, il passe et décroche le concours d’entrée à l’Ecole Nationale de Magistrature. Durant treize années, il occupe les fonctions de juge d’instruction dans différentes villes, Mâcon et Tours, notamment.
Après un premier polar intitulé « Accusé, couchez-vous » (Gallimard), co-écrit avec Michel Embareck, il reçoit quelques remontrances de la part de sa hiérarchie. Le 17 janvier 2005, par ras-le-bol, il claque la porte de son cabinet d’instruction, et s’en explique dans un récit « Un juge s’en va », puis un essai « Plaidoyer pour le mensonge », tous deux succès de librairie.
Son dernier livre, « Plaidoyer pour le mensonge » (Denoël) traite du fonctionnement de la justice. Laurent Lèguevaque revient sur cette quête de vérité, illustrée par la multiplication des expertises, scientifiques ou pas. Sa conclusion est sans appel : il faut chérir le mensonge.
Ce goût d’écrire le poursuit aujourd’hui, puisque, outre un livre à paraître en Octobre 2012 chez Jean-Claude Lattés (Un « Dictionnaire des causes perdues »), il vit de l’écriture de scénarios – pour France Télévision, essentiellement.
Il a récemment publié :
Accusé, couchez-vous ! (Gallimard), 2003.
Un juge s’en va (éditions de l’Archipel), en 2005.
Plaidoyer pour le mensonge (Denoël), en 2006.
Je ne parle pas aux femmes (l’écailler du sud), en 2007.
Justice à tous les étages (l’Archipel), en 2008.
Lettre à mon fils lui expliquant les excellentes raisons qu’il aura de boire (cherche-midi), en 2010.
Manifeste contre les notaires (Max Milo éditions), en 2011.